Tegen de herstelling in oorspronkelijke staat van de raamkozijnen van Le Logis-Floréal in Watermaal-Bosvoorde

• Ils sont prêts à réduire certaines fenêtres qui avaient été agrandies pour donner plus de lumière.
• Ils suppriment des volets à caisson isolant.

En effet, vivre dans un parc de logement social classé ne signifie pas que nous vivons, je dirais même, pouvons vivre en dehors de l’urgence climatique, ni même en dehors de la hausse des prix de l’énergie.

Avant d’être classé comme patrimoine architectural, ce parc de logement est habité par des personnes en situation de précarité, d’une part, et citoyens à part entière, d’autre part.

L’argent public alloué par la Région bruxelloise doit donc aussi être utilisé dans ces deux orientations principales :

• puisqu’elle s’adresse à un public défavorisé socialement, il est important face aux prix exorbitants de l’énergie, d’organiser les travaux au printemps et en été, lorsque ces travaux n’alourdissent pas la facture des ménages, mais aussi en vue de diminuer leur facture en installant du double vitrage ;
• puisque la Région bruxelloise, comme toute institution publique contemporaine, doit penser l’urgence climatique et créer un lien fort avec les citoyens engagés dans ce sens ; il est impensable aujourd’hui de dépenser l’argent public pour refaire des châssis et des fenêtres qui n’iraient pas dans le sens d’une économie d’énergie des plus rigoureuses.

• +

  Le Parlement bruxellois a reçu la pétition suivante :

  La Région bruxelloise finance un projet des monuments et sites pour refaire à l’identique les châssis du Logis-Floréal…

  C’est inacceptable !

  • Avec cet argent et au vu de l’urgence climatique, c’est du double vitrage qu’il faudrait installer.
  • Ils sont prêts à réduire certaines fenêtres qui avaient été agrandies pour donner plus de lumière.
  • Ils suppriment des volets à caisson isolant.

  En effet, vivre dans un parc de logement social classé ne signifie pas que nous vivons, je dirais même, pouvons vivre en dehors de l’urgence climatique, ni même en dehors de la hausse des prix de l’énergie.

  Avant d’être classé comme patrimoine architectural, ce parc de logement est habité par des personnes en situation de précarité, d’une part, et citoyens à part entière, d’autre part.

  L’argent public alloué par la Région bruxelloise doit donc aussi être utilisé dans ces deux orientations principales :

  • puisqu’elle s’adresse à un public défavorisé socialement, il est important face aux prix exorbitants de l’énergie, d’organiser les travaux au printemps et en été, lorsque ces travaux n’alourdissent pas la facture des ménages, mais aussi en vue de diminuer leur facture en installant du double vitrage ;
  • puisque la Région bruxelloise, comme toute institution publique contemporaine, doit penser l’urgence climatique et créer un lien fort avec les citoyens engagés dans ce sens ; il est impensable aujourd’hui de dépenser l’argent public pour refaire des châssis et des fenêtres qui n’iraient pas dans le sens d’une économie d’énergie des plus rigoureuses.