Voor een vermindering van het zwerfvuil

Petitie

Signature collection period 13/09/2022 - 23/01/2023

Initiatief

Veranderingen op "Voor een vermindering van het zwerfvuil"

Vergelijk weergavemodus:

Titel (Nederlands)

+Voor een vermindering van het zwerfvuil

Beschrijving (Français)

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La Wallonie, la Flandre et Bruxelles font toutes trois face au même problème, celui des déchets sauvages. Ils sont dans nos rues, dans nos parcs, dans nos rivières, sur nos plages. Leurs descendants, les microplastiques, polluent la mer, l’air, les aliments et l’eau que nous consommons. C’est pourquoi nous demandons aux autorités belges de se mettre autour de la table pour décider de :
- – l’introduction d’un système de consigne pour les cannettes et les bouteilles en plastique. Ces emballages à usage unique comptent pour 40 % des déchets sauvages. Il faut leur donner une valeur suffisante, 25 centimes d’euro par emballages, afin qu’ils soient retournés aux producteurs pour être réellement recyclés (c’est-à-dire utiliser la matière pour refaire le même produit) et qu’ils ne se retrouvent plus dans la nature ;
- – faire payer l’industrie pour la production d’emballages à usage unique et d’emballages non recyclables ainsi que pour l’utilisation de plastique vierge afin de stimuler la production d’emballages réutilisables ou recyclables, et l’utilisation de plastique recyclé.
C’est une étape nécessaire et importante vers une société plus circulaire et moins polluante.
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La Wallonie, la Flandre et Bruxelles font toutes trois face au même problème, celui des déchets sauvages. Ils sont dans nos rues, dans nos parcs, dans nos rivières, sur nos plages. Leurs descendants, les microplastiques, polluent la mer, l’air, les aliments et l’eau que nous consommons. C’est pourquoi nous demandons aux autorités belges de se mettre autour de la table pour décider de :
1. l’introduction d’un système de consigne pour les cannettes et les bouteilles en plastique. Ces emballages à usage unique comptent pour 40 % des déchets sauvages. Il faut leur donner une valeur suffisante, 25 centimes d’euro par emballages, afin qu’ils soient retournés aux producteurs pour être réellement recyclés (c’est-à-dire utiliser la matière pour refaire le même produit) et qu’ils ne se retrouvent plus dans la nature ;
2. faire payer l’industrie pour la production d’emballages à usage unique et d’emballages non recyclables ainsi que pour l’utilisation de plastique vierge afin de stimuler la production d’emballages réutilisables ou recyclables, et l’utilisation de plastique recyclé.
C’est une étape nécessaire et importante vers une société plus circulaire et moins polluante.

-La Wallonie, la Flandre et Bruxelles font toutes trois face au même problème, celui des déchets sauvages. Ils sont dans nos rues, dans nos parcs, dans nos rivières, sur nos plages. Leurs descendants, les microplastiques, polluent la mer, l’air, les aliments et l’eau que nous consommons. C’est pourquoi nous demandons aux autorités belges de se mettre autour de la table pour décider de :<ul><li>– l’introduction d’un système de consigne pour les cannettes et les bouteilles en plastique. Ces emballages à usage unique comptent pour 40 % des déchets sauvages. Il faut leur donner une valeur suffisante, 25 centimes d’euro par emballages, afin qu’ils soient retournés aux producteurs pour être réellement recyclés (c’est-à-dire utiliser la matière pour refaire le même produit) et qu’ils ne se retrouvent plus dans la nature ;</li><li> </li><li>– faire payer l’industrie pour la production d’emballages à usage unique et d’emballages non recyclables ainsi que pour l’utilisation de plastique vierge afin de stimuler la production d’emballages réutilisables ou recyclables, et l’utilisation de plastique recyclé.</li></ul>C’est une étape nécessaire et importante vers une société plus circulaire et moins polluante.
+La Wallonie, la Flandre et Bruxelles font toutes trois face au même problème, celui des déchets sauvages. Ils sont dans nos rues, dans nos parcs, dans nos rivières, sur nos plages. Leurs descendants, les microplastiques, polluent la mer, l’air, les aliments et l’eau que nous consommons. C’est pourquoi nous demandons aux autorités belges de se mettre autour de la table pour décider de :<ol><li data-list="bullet">l’introduction d’un système de consigne pour les cannettes et les bouteilles en plastique. Ces emballages à usage unique comptent pour 40 % des déchets sauvages. Il faut leur donner une valeur suffisante, 25 centimes d’euro par emballages, afin qu’ils soient retournés aux producteurs pour être réellement recyclés (c’est-à-dire utiliser la matière pour refaire le même produit) et qu’ils ne se retrouvent plus dans la nature ;</li><li data-list="bullet">faire payer l’industrie pour la production d’emballages à usage unique et d’emballages non recyclables ainsi que pour l’utilisation de plastique vierge afin de stimuler la production d’emballages réutilisables ou recyclables, et l’utilisation de plastique recyclé.</li></ol>C’est une étape nécessaire et importante vers une société plus circulaire et moins polluante.

Verwijderingen

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La Wallonie, la Flandre et Bruxelles font toutes trois face au même problème, celui des déchets sauvages. Ils sont dans nos rues, dans nos parcs, dans nos rivières, sur nos plages. Leurs descendants, les microplastiques, polluent la mer, l’air, les aliments et l’eau que nous consommons. C’est pourquoi nous demandons aux autorités belges de se mettre autour de la table pour décider de :
- – l’introduction d’un système de consigne pour les cannettes et les bouteilles en plastique. Ces emballages à usage unique comptent pour 40 % des déchets sauvages. Il faut leur donner une valeur suffisante, 25 centimes d’euro par emballages, afin qu’ils soient retournés aux producteurs pour être réellement recyclés (c’est-à-dire utiliser la matière pour refaire le même produit) et qu’ils ne se retrouvent plus dans la nature ;
- – faire payer l’industrie pour la production d’emballages à usage unique et d’emballages non recyclables ainsi que pour l’utilisation de plastique vierge afin de stimuler la production d’emballages réutilisables ou recyclables, et l’utilisation de plastique recyclé.
C’est une étape nécessaire et importante vers une société plus circulaire et moins polluante.
faire payer l’industrie pour la production d’emballages à usage unique et d’emballages non recyclables ainsi que pour l’utilisation de plastique vierge afin de stimuler la production d’emballages réutilisables ou recyclables, et l’utilisation de plastique recyclé.

C’est une étape nécessaire et importante vers une société plus circulaire et moins polluante.

Toevoegingen

– faire payer l’industrie pour la production d’emballages à usage unique et d’emballages non recyclables ainsi que pour l’utilisation de plastique vierge afin de stimuler la production d’emballages réutilisables ou recyclables, et l’utilisation de plastique recyclé.

C’est une étape nécessaire et importante vers une société plus circulaire et moins polluante.

La Wallonie, la Flandre et Bruxelles font toutes trois face au même problème, celui des déchets sauvages. Ils sont dans nos rues, dans nos parcs, dans nos rivières, sur nos plages. Leurs descendants, les microplastiques, polluent la mer, l’air, les aliments et l’eau que nous consommons. C’est pourquoi nous demandons aux autorités belges de se mettre autour de la table pour décider de :

l’introduction d’un système de consigne pour les cannettes et les bouteilles en plastique. Ces emballages à usage unique comptent pour 40 % des déchets sauvages. Il faut leur donner une valeur suffisante, 25 centimes d’euro par emballages, afin qu’ils soient retournés aux producteurs pour être réellement recyclés (c’est-à-dire utiliser la matière pour refaire le même produit) et qu’ils ne se retrouvent plus dans la nature ;
faire payer l’industrie pour la production d’emballages à usage unique et d’emballages non recyclables ainsi que pour l’utilisation de plastique vierge afin de stimuler la production d’emballages réutilisables ou recyclables, et l’utilisation de plastique recyclé.

C’est une étape nécessaire et importante vers une société plus circulaire et moins polluante.

Verwijderingen

-La Wallonie, la Flandre et Bruxelles font toutes trois face au même problème, celui des déchets sauvages. Ils sont dans nos rues, dans nos parcs, dans nos rivières, sur nos plages. Leurs descendants, les microplastiques, polluent la mer, l’air, les aliments et l’eau que nous consommons. C’est pourquoi nous demandons aux autorités belges de se mettre autour de la table pour décider de :<ul><li>– l’introduction d’un système de consigne pour les cannettes et les bouteilles en plastique. Ces emballages à usage unique comptent pour 40 % des déchets sauvages. Il faut leur donner une valeur suffisante, 25 centimes d’euro par emballages, afin qu’ils soient retournés aux producteurs pour être réellement recyclés (c’est-à-dire utiliser la matière pour refaire le même produit) et qu’ils ne se retrouvent plus dans la nature ;</li><li> </li><li>– faire payer l’industrie pour la production d’emballages à usage unique et d’emballages non recyclables ainsi que pour l’utilisation de plastique vierge afin de stimuler la production d’emballages réutilisables ou recyclables, et l’utilisation de plastique recyclé.</li></ul>C’est une étape nécessaire et importante vers une société plus circulaire et moins polluante.

Toevoegingen

+La Wallonie, la Flandre et Bruxelles font toutes trois face au même problème, celui des déchets sauvages. Ils sont dans nos rues, dans nos parcs, dans nos rivières, sur nos plages. Leurs descendants, les microplastiques, polluent la mer, l’air, les aliments et l’eau que nous consommons. C’est pourquoi nous demandons aux autorités belges de se mettre autour de la table pour décider de :<ol><li data-list="bullet">l’introduction d’un système de consigne pour les cannettes et les bouteilles en plastique. Ces emballages à usage unique comptent pour 40 % des déchets sauvages. Il faut leur donner une valeur suffisante, 25 centimes d’euro par emballages, afin qu’ils soient retournés aux producteurs pour être réellement recyclés (c’est-à-dire utiliser la matière pour refaire le même produit) et qu’ils ne se retrouvent plus dans la nature ;</li><li data-list="bullet">faire payer l’industrie pour la production d’emballages à usage unique et d’emballages non recyclables ainsi que pour l’utilisation de plastique vierge afin de stimuler la production d’emballages réutilisables ou recyclables, et l’utilisation de plastique recyclé.</li></ol>C’est une étape nécessaire et importante vers une société plus circulaire et moins polluante.

Beschrijving (Nederlands)

+Vlaanderen, Wallonië en Brussel worden allen geplaagd door hetzelfde probleem : zwerfvuil. Onze straten, parken, rivieren, stranden, geen enkele plek ontsnapt eraan. De overblijfselen ervan, microplastics, vervuilen de zee, de lucht, het voedsel en het water dat we consumeren. Wij vragen daarom alle overheden in België samen te zitten om te beslissen :<ol><li data-list="bullet">statiegeld in te voeren op blikjes en plastic flesjes. Aan deze wegwerpverpakkingen, die 40 % uitmaken van het zwerfvuil, moet voldoende waarde worden gegeven, 25 cent per verpakking, opdat ze teruggebracht zouden worden naar de producenten en echt gerecycleerd worden (tot hetzelfde product) en niet meer in de natuur terechtkomen ;</li><li data-list="bullet">de industrie te laten betalen voor het produceren van wegwerpverpakkingen en niet recycleerbare verpakkingen, alsook voor het gebruik van nieuw plastic, teneinde het gebruik van herbruikbare of recycleerbare verpakkingen en het gebruik van gerecycleerd plastic te bevorderen.</li></ol>Dit is een noodzakelijke en belangrijke stap naar een meer circulaire en minder vervuilende samenleving.

Versie nummer 3 van de 12 Toon alle versies Ga terug naar het initiatief

Versie auteur

Parlement bruxellois - Brussels Parlement

Versie gemaakt op 13/09/2022 11:57