Pour l’obligation de mesurer l’empreinte carbone des projets urbains de la Région de Bruxelles-Capitale

Pétition

Période de collecte des signatures 24/11/2021 - 19/10/2022

Pétition

Changements sur "Pour l’obligation de mesurer l’empreinte carbone des projets urbains de la Région de Bruxelles-Capitale"

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Titre (Nederlands)

+Voor de verplichte meting van de koolstofvoetafdruk van stadsprojecten in het Brussels Hoofdstedelijk Gewest

Description (Français)

-
Dans son Plan Energie Climat 2030, la Région s’engage à aligner ses plans d’aménagements directeurs (PAD) avec les objectifs climatiques. Respecter ces objectifs requiert de systématiquement mesurer et prendre en compte l’empreinte carbone d’un projet au moment de sa conception. Sans mesurer, il est impossible de réduire avec certitude et efficacité ! Pourtant, l'empreinte carbone n'est calculée dans aucun des 13 PAD conçus par la Région, et le processus d'approbation des projets suit son cours, malgré que ces derniers soient incompatibles avec les objectifs climatiques (voir plus bas).

Sans mesurer l’impact climatique des grands projets urbains comme les PAD, nous ne pourrons pas atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, qui requiert une baisse de 95% des émissions de gaz à effet de serre de la Région. Pire, nous risquons d’aggraver la situation climatique.

En effet, la construction neuve reste le principal mot d’ordre (au détriment de la rénovation) et repose sur des matériaux peu écologiques (béton principalement) qui alourdissent considérablement l’empreinte carbone des projets urbains. C’est ce que démontre une étude réalisée par The Shifters Belgium sur le cycle de vie du PAD MédiaPark. En d’autres termes:
- La majorité des émissions de gaz à effet de serre générés par les PAD (environ 50% pour MédiaPark) sera émise lors de leur construction, c’est-à-dire dans quelques années. Cela diminuera notre budget carbone restant pour limiter le réchauffement climatique à 2°C.
- La bonne performance énergétique des bâtiments, très fréquemment mise en avant pour justifier du caractère “durable” des projets, ne permet pas de contrebalancer cet effet.
En faisant ces choix non climato-compatibles, nous puisons dans le budget carbone des générations futures. Plus nous émettons aujourd’hui, plus nous devrons réduire demain. Par ailleurs, le choix de la construction neuve au détriment de la rénovation et réhabilitation, alors que la ville compte un taux de logements vacants avoisinant par endroit les 10%, est un non-sens écologique. Comme le démontre l’étude de The Shifters Belgium, il existe des scénarios alternatifs compatibles avec les objectifs climatiques et qui ne compromettent ni les projets économiques ni la production de logements.

Nous demandons donc à la Présidence du Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale de :
- Rendre obligatoire et contraignant le calcul de l’empreinte carbone des projets soumis à la réalisation d’une étude d’incidence environnementale (1).
- Publier l’empreinte carbone des projets urbains en libre accès, pour faciliter la participation citoyenne lors des enquêtes publiques.
Il est urgent de faire de Bruxelles une ville durable et réellement engagée sur une trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre permettant de limiter les conséquences du changement climatique.

(1) Ceci pourrait passer par la modification de l’annexe C du CoBAT (Code Bruxellois de l’Aménagement du Territoire)
+
Dans son Plan Energie Climat 2030, la Région s’engage à aligner ses plans d’aménagements directeurs (PAD) avec les objectifs climatiques. Respecter ces objectifs requiert de systématiquement mesurer et prendre en compte l’empreinte carbone d’un projet au moment de sa conception. Sans mesurer, il est impossible de réduire avec certitude et efficacité ! Pourtant, l'empreinte carbone n'est calculée dans aucun des 13 PAD conçus par la Région, et le processus d'approbation des projets suit son cours, malgré que ces derniers soient incompatibles avec les objectifs climatiques (voir plus bas).

Sans mesurer l’impact climatique des grands projets urbains comme les PAD, nous ne pourrons pas atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, qui requiert une baisse de 95% des émissions de gaz à effet de serre de la Région. Pire, nous risquons d’aggraver la situation climatique.

En effet, la construction neuve reste le principal mot d’ordre (au détriment de la rénovation) et repose sur des matériaux peu écologiques (béton principalement) qui alourdissent considérablement l’empreinte carbone des projets urbains. C’est ce que démontre une étude réalisée par The Shifters Belgium sur le cycle de vie du PAD MédiaPark. En d’autres termes:

En faisant ces choix non climato-compatibles, nous puisons dans le budget carbone des générations futures. Plus nous émettons aujourd’hui, plus nous devrons réduire demain. Par ailleurs, le choix de la construction neuve au détriment de la rénovation et réhabilitation, alors que la ville compte un taux de logements vacants avoisinant par endroit les 10%, est un non-sens écologique. Comme le démontre l’étude de The Shifters Belgium, il existe des scénarios alternatifs compatibles avec les objectifs climatiques et qui ne compromettent ni les projets économiques ni la production de logements.

Nous demandons donc à la Présidence du Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale de :

Il est urgent de faire de Bruxelles une ville durable et réellement engagée sur une trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre permettant de limiter les conséquences du changement climatique.

(1) Ceci pourrait passer par la modification de l’annexe C du CoBAT (Code Bruxellois de l’Aménagement du Territoire)

-Dans son Plan Energie Climat 2030, la Région s’engage à aligner ses plans d’aménagements directeurs (PAD) avec les objectifs climatiques. Respecter ces objectifs requiert de systématiquement mesurer et prendre en compte l’empreinte carbone d’un projet au moment de sa conception. Sans mesurer, il est impossible de réduire avec certitude et efficacité ! Pourtant, l'empreinte carbone n'est calculée dans aucun des 13 PAD conçus par la Région, et le processus d'approbation des projets suit son cours, malgré que ces derniers soient incompatibles avec les objectifs climatiques (voir plus bas).Sans mesurer l’impact climatique des grands projets urbains comme les PAD, nous ne pourrons pas atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, qui requiert une baisse de 95% des émissions de gaz à effet de serre de la Région. Pire, nous risquons d’aggraver la situation climatique.En effet, la construction neuve reste le principal mot d’ordre (au détriment de la rénovation) et repose sur des matériaux peu écologiques (béton principalement) qui alourdissent considérablement l’empreinte carbone des projets urbains. C’est ce que démontre une étude réalisée par The Shifters Belgium sur le cycle de vie du <a href="https://drive.google.com/file/d/1yhONwjvm3mJ9GrJaL8QQcDCydTnYpzwr/view" target="_blank">PAD MédiaPark</a>. En d’autres termes:<ul><li>La majorité des émissions de gaz à effet de serre générés par les PAD (environ 50% pour MédiaPark) sera émise lors de leur construction, c’est-à-dire dans quelques années. Cela diminuera notre budget carbone restant pour limiter le réchauffement climatique à 2°C. </li><li>La bonne performance énergétique des bâtiments, très fréquemment mise en avant pour justifier du caractère “durable” des projets, ne permet pas de contrebalancer cet effet.</li></ul>En faisant ces choix non climato-compatibles, nous puisons dans le budget carbone des générations futures. Plus nous émettons aujourd’hui, plus nous devrons réduire demain. Par ailleurs, le choix de la construction neuve au détriment de la rénovation et réhabilitation, alors que la ville compte un taux de logements vacants avoisinant par endroit les 10%, est un non-sens écologique. Comme le démontre l’étude de The Shifters Belgium, il existe des scénarios alternatifs compatibles avec les objectifs climatiques et qui ne compromettent ni les projets économiques ni la production de logements.Nous demandons donc à la Présidence du Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale de :<ul><li>Rendre obligatoire et contraignant le calcul de l’empreinte carbone des projets soumis à la réalisation d’une étude d’incidence environnementale (1). </li><li>Publier l’empreinte carbone des projets urbains en libre accès, pour faciliter la participation citoyenne lors des enquêtes publiques.</li></ul> Il est urgent de faire de Bruxelles une ville durable et réellement engagée sur une trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre permettant de limiter les conséquences du changement climatique. (1) Ceci pourrait passer par la modification de l’annexe C du CoBAT (Code Bruxellois de l’Aménagement du Territoire)
+Dans son Plan Energie Climat 2030, la Région s’engage à aligner ses plans d’aménagements directeurs (PAD) avec les objectifs climatiques. Respecter ces objectifs requiert de systématiquement mesurer et prendre en compte l’empreinte carbone d’un projet au moment de sa conception. Sans mesurer, il est impossible de réduire avec certitude et efficacité ! Pourtant, l'empreinte carbone n'est calculée dans aucun des 13 PAD conçus par la Région, et le processus d'approbation des projets suit son cours, malgré que ces derniers soient incompatibles avec les objectifs climatiques (voir plus bas).Sans mesurer l’impact climatique des grands projets urbains comme les PAD, nous ne pourrons pas atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, qui requiert une baisse de 95% des émissions de gaz à effet de serre de la Région. Pire, nous risquons d’aggraver la situation climatique.En effet, la construction neuve reste le principal mot d’ordre (au détriment de la rénovation) et repose sur des matériaux peu écologiques (béton principalement) qui alourdissent considérablement l’empreinte carbone des projets urbains. C’est ce que démontre une étude réalisée par The Shifters Belgium sur le cycle de vie du <a href="https://drive.google.com/file/d/1yhONwjvm3mJ9GrJaL8QQcDCydTnYpzwr/view" target="_blank">PAD MédiaPark</a>. En d’autres termes:<p> </p>En faisant ces choix non climato-compatibles, nous puisons dans le budget carbone des générations futures. Plus nous émettons aujourd’hui, plus nous devrons réduire demain. Par ailleurs, le choix de la construction neuve au détriment de la rénovation et réhabilitation, alors que la ville compte un taux de logements vacants avoisinant par endroit les 10%, est un non-sens écologique. Comme le démontre l’étude de The Shifters Belgium, il existe des scénarios alternatifs compatibles avec les objectifs climatiques et qui ne compromettent ni les projets économiques ni la production de logements.Nous demandons donc à la Présidence du Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale de :<p> </p> Il est urgent de faire de Bruxelles une ville durable et réellement engagée sur une trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre permettant de limiter les conséquences du changement climatique. (1) Ceci pourrait passer par la modification de l’annexe C du CoBAT (Code Bruxellois de l’Aménagement du Territoire)

Suppressions

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Dans son Plan Energie Climat 2030, la Région s’engage à aligner ses plans d’aménagements directeurs (PAD) avec les objectifs climatiques. Respecter ces objectifs requiert de systématiquement mesurer et prendre en compte l’empreinte carbone d’un projet au moment de sa conception. Sans mesurer, il est impossible de réduire avec certitude et efficacité ! Pourtant, l'empreinte carbone n'est calculée dans aucun des 13 PAD conçus par la Région, et le processus d'approbation des projets suit son cours, malgré que ces derniers soient incompatibles avec les objectifs climatiques (voir plus bas).

Sans mesurer l’impact climatique des grands projets urbains comme les PAD, nous ne pourrons pas atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, qui requiert une baisse de 95% des émissions de gaz à effet de serre de la Région. Pire, nous risquons d’aggraver la situation climatique.

En effet, la construction neuve reste le principal mot d’ordre (au détriment de la rénovation) et repose sur des matériaux peu écologiques (béton principalement) qui alourdissent considérablement l’empreinte carbone des projets urbains. C’est ce que démontre une étude réalisée par The Shifters Belgium sur le cycle de vie du PAD MédiaPark. En d’autres termes:
- La majorité des émissions de gaz à effet de serre générés par les PAD (environ 50% pour MédiaPark) sera émise lors de leur construction, c’est-à-dire dans quelques années. Cela diminuera notre budget carbone restant pour limiter le réchauffement climatique à 2°C.
- La bonne performance énergétique des bâtiments, très fréquemment mise en avant pour justifier du caractère “durable” des projets, ne permet pas de contrebalancer cet effet.
En faisant ces choix non climato-compatibles, nous puisons dans le budget carbone des générations futures. Plus nous émettons aujourd’hui, plus nous devrons réduire demain. Par ailleurs, le choix de la construction neuve au détriment de la rénovation et réhabilitation, alors que la ville compte un taux de logements vacants avoisinant par endroit les 10%, est un non-sens écologique. Comme le démontre l’étude de The Shifters Belgium, il existe des scénarios alternatifs compatibles avec les objectifs climatiques et qui ne compromettent ni les projets économiques ni la production de logements.

Nous demandons donc à la Présidence du Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale de :
- Rendre obligatoire et contraignant le calcul de l’empreinte carbone des projets soumis à la réalisation d’une étude d’incidence environnementale (1).
- Publier l’empreinte carbone des projets urbains en libre accès, pour faciliter la participation citoyenne lors des enquêtes publiques.
Il est urgent de faire de Bruxelles une ville durable et réellement engagée sur une trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre permettant de limiter les conséquences du changement climatique.

(1) Ceci pourrait passer par la modification de l’annexe C du CoBAT (Code Bruxellois de l’Aménagement du Territoire)

Ajouts

La bonne performance énergétique des bâtiments, très fréquemment mise en avant pour justifier du caractère “durable” des projets, ne permet pas de contrebalancer cet effet.

En faisant ces choix non climato-compatibles, nous puisons dans le budget carbone des générations futures. Plus nous émettons aujourd’hui, plus nous devrons réduire demain. Par ailleurs, le choix de la construction neuve au détriment de la rénovation et réhabilitation, alors que la ville compte un taux de logements vacants avoisinant par endroit les 10%, est un non-sens écologique. Comme le démontre l’étude de The Shifters Belgium, il existe des scénarios alternatifs compatibles avec les objectifs climatiques et qui ne compromettent ni les projets économiques ni la production de logements.

Nous demandons donc à la Présidence du Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale de :

Rendre obligatoire et contraignant le calcul de l’empreinte carbone des projets soumis à la réalisation d’une étude d’incidence environnementale (1).
Publier l’empreinte carbone des projets urbains en libre accès, pour faciliter la participation citoyenne lors des enquêtes publiques.

Il est urgent de faire de Bruxelles une ville durable et réellement engagée sur une trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre permettant de limiter les conséquences du changement climatique.

(1) Ceci pourrait passer par la modification de l’annexe C du CoBAT (Code Bruxellois de l’Aménagement du Territoire)

Dans son Plan Energie Climat 2030, la Région s’engage à aligner ses plans d’aménagements directeurs (PAD) avec les objectifs climatiques. Respecter ces objectifs requiert de systématiquement mesurer et prendre en compte l’empreinte carbone d’un projet au moment de sa conception. Sans mesurer, il est impossible de réduire avec certitude et efficacité ! Pourtant, l'empreinte carbone n'est calculée dans aucun des 13 PAD conçus par la Région, et le processus d'approbation des projets suit son cours, malgré que ces derniers soient incompatibles avec les objectifs climatiques (voir plus bas).

Sans mesurer l’impact climatique des grands projets urbains comme les PAD, nous ne pourrons pas atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, qui requiert une baisse de 95% des émissions de gaz à effet de serre de la Région. Pire, nous risquons d’aggraver la situation climatique.

En effet, la construction neuve reste le principal mot d’ordre (au détriment de la rénovation) et repose sur des matériaux peu écologiques (béton principalement) qui alourdissent considérablement l’empreinte carbone des projets urbains. C’est ce que démontre une étude réalisée par The Shifters Belgium sur le cycle de vie du PAD MédiaPark. En d’autres termes:

Nous demandons donc à la Présidence du Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale de :

(1) Ceci pourrait passer par la modification de l’annexe C du CoBAT (Code Bruxellois de l’Aménagement du Territoire)

Suppressions

-Dans son Plan Energie Climat 2030, la Région s’engage à aligner ses plans d’aménagements directeurs (PAD) avec les objectifs climatiques. Respecter ces objectifs requiert de systématiquement mesurer et prendre en compte l’empreinte carbone d’un projet au moment de sa conception. Sans mesurer, il est impossible de réduire avec certitude et efficacité ! Pourtant, l'empreinte carbone n'est calculée dans aucun des 13 PAD conçus par la Région, et le processus d'approbation des projets suit son cours, malgré que ces derniers soient incompatibles avec les objectifs climatiques (voir plus bas).Sans mesurer l’impact climatique des grands projets urbains comme les PAD, nous ne pourrons pas atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, qui requiert une baisse de 95% des émissions de gaz à effet de serre de la Région. Pire, nous risquons d’aggraver la situation climatique.En effet, la construction neuve reste le principal mot d’ordre (au détriment de la rénovation) et repose sur des matériaux peu écologiques (béton principalement) qui alourdissent considérablement l’empreinte carbone des projets urbains. C’est ce que démontre une étude réalisée par The Shifters Belgium sur le cycle de vie du <a href="https://drive.google.com/file/d/1yhONwjvm3mJ9GrJaL8QQcDCydTnYpzwr/view" target="_blank">PAD MédiaPark</a>. En d’autres termes:<ul><li>La majorité des émissions de gaz à effet de serre générés par les PAD (environ 50% pour MédiaPark) sera émise lors de leur construction, c’est-à-dire dans quelques années. Cela diminuera notre budget carbone restant pour limiter le réchauffement climatique à 2°C. </li><li>La bonne performance énergétique des bâtiments, très fréquemment mise en avant pour justifier du caractère “durable” des projets, ne permet pas de contrebalancer cet effet.</li></ul>En faisant ces choix non climato-compatibles, nous puisons dans le budget carbone des générations futures. Plus nous émettons aujourd’hui, plus nous devrons réduire demain. Par ailleurs, le choix de la construction neuve au détriment de la rénovation et réhabilitation, alors que la ville compte un taux de logements vacants avoisinant par endroit les 10%, est un non-sens écologique. Comme le démontre l’étude de The Shifters Belgium, il existe des scénarios alternatifs compatibles avec les objectifs climatiques et qui ne compromettent ni les projets économiques ni la production de logements.Nous demandons donc à la Présidence du Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale de :<ul><li>Rendre obligatoire et contraignant le calcul de l’empreinte carbone des projets soumis à la réalisation d’une étude d’incidence environnementale (1). </li><li>Publier l’empreinte carbone des projets urbains en libre accès, pour faciliter la participation citoyenne lors des enquêtes publiques.</li></ul> Il est urgent de faire de Bruxelles une ville durable et réellement engagée sur une trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre permettant de limiter les conséquences du changement climatique. (1) Ceci pourrait passer par la modification de l’annexe C du CoBAT (Code Bruxellois de l’Aménagement du Territoire)

Ajouts

+Dans son Plan Energie Climat 2030, la Région s’engage à aligner ses plans d’aménagements directeurs (PAD) avec les objectifs climatiques. Respecter ces objectifs requiert de systématiquement mesurer et prendre en compte l’empreinte carbone d’un projet au moment de sa conception. Sans mesurer, il est impossible de réduire avec certitude et efficacité ! Pourtant, l'empreinte carbone n'est calculée dans aucun des 13 PAD conçus par la Région, et le processus d'approbation des projets suit son cours, malgré que ces derniers soient incompatibles avec les objectifs climatiques (voir plus bas).Sans mesurer l’impact climatique des grands projets urbains comme les PAD, nous ne pourrons pas atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, qui requiert une baisse de 95% des émissions de gaz à effet de serre de la Région. Pire, nous risquons d’aggraver la situation climatique.En effet, la construction neuve reste le principal mot d’ordre (au détriment de la rénovation) et repose sur des matériaux peu écologiques (béton principalement) qui alourdissent considérablement l’empreinte carbone des projets urbains. C’est ce que démontre une étude réalisée par The Shifters Belgium sur le cycle de vie du <a href="https://drive.google.com/file/d/1yhONwjvm3mJ9GrJaL8QQcDCydTnYpzwr/view" target="_blank">PAD MédiaPark</a>. En d’autres termes:<p> </p>En faisant ces choix non climato-compatibles, nous puisons dans le budget carbone des générations futures. Plus nous émettons aujourd’hui, plus nous devrons réduire demain. Par ailleurs, le choix de la construction neuve au détriment de la rénovation et réhabilitation, alors que la ville compte un taux de logements vacants avoisinant par endroit les 10%, est un non-sens écologique. Comme le démontre l’étude de The Shifters Belgium, il existe des scénarios alternatifs compatibles avec les objectifs climatiques et qui ne compromettent ni les projets économiques ni la production de logements.Nous demandons donc à la Présidence du Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale de :<p> </p> Il est urgent de faire de Bruxelles une ville durable et réellement engagée sur une trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre permettant de limiter les conséquences du changement climatique. (1) Ceci pourrait passer par la modification de l’annexe C du CoBAT (Code Bruxellois de l’Aménagement du Territoire)

Description (Nederlands)

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In zijn energie-klimaatplan 2030 verbindt het Brussels Hoofdstedelijk Gewest zich ertoe zijn richtplannen van aanleg (RPA's) af te stemmen op de klimaatdoelstellingen. Om deze doelstellingen te bereiken, moet de koolstofvoetafdruk van een project in de ontwerpfase systematisch worden gemeten en in aanmerking worden genomen. Zonder meting is het onmogelijk om deze met zekerheid en doeltreffendheid te verminderen! De koolstofvoetafdruk is echter in geen van de 13 door het Gewest ontworpen RPA's berekend, en het goedkeuringsproces voor projecten gaat door, ondanks het feit dat de projecten onverenigbaar zijn met de klimaatdoelstellingen (zie hieronder).

Zonder meting van de klimaatimpact van grote stadsprojecten zoals de RPA's zullen we niet in staat zijn om tegen 2050 koolstofneutraliteit te bereiken, wat een vermindering met 95% van de uitstoot van broeikasgassen door het Gewest vereist. Erger nog, we lopen het risico de klimaatsituatie te verergeren.

Nieuwbouw blijft immers de voornaamste leidraad (ten nadele van renovatie) en daarbij wordt gebruik gemaakt van materialen die niet erg milieuvriendelijk zijn (voornamelijk beton), die de koolstofvoetafdruk van stadsprojecten aanzienlijk verhogen. Dit blijkt uit een door The Shifters Belgium uitgevoerde studie over de levenscyclus van het RPA MediaPark.

Door deze klimaatonvriendelijke keuzes te maken, tasten wij het koolstofbudget van de toekomstige generaties aan. Hoe meer we vandaag uitstoten, hoe meer we morgen zullen moeten verminderen. Bovendien is de keuze voor nieuwbouw ten koste van renovatie en herstel ecologisch onzinnig, terwijl de stad op sommige plaatsen een leegstand van bijna 10% kent. Zoals uit bovengenoemde studie blijkt, zijn er alternatieve scenario's die verenigbaar zijn met de klimaatdoelstellingen en die noch de economische projecten noch de woningproductie in het gedrang brengen.

We vragen het Brussels Hoofdstedelijk Parlement dan ook om van Brussel een duurzame stad te maken die zich echt inzet voor een traject om de uitstoot van broeikasgassen te verminderen en zo de gevolgen van de klimaatverandering te beperken.

Dit zou kunnen worden bereikt door een wijziging van bijlage C van het BWRO (Brussels Wetboek van Ruimtelijke Ordening, met de titel “Inhoud van het milieueffectenrapport over de stedenbouwkundige plannen en verordeningen”.

+In zijn energie-klimaatplan 2030 verbindt het Brussels Hoofdstedelijk Gewest zich ertoe zijn richtplannen van aanleg (RPA's) af te stemmen op de klimaatdoelstellingen. Om deze doelstellingen te bereiken, moet de koolstofvoetafdruk van een project in de ontwerpfase systematisch worden gemeten en in aanmerking worden genomen. Zonder meting is het onmogelijk om deze met zekerheid en doeltreffendheid te verminderen! De koolstofvoetafdruk is echter in geen van de 13 door het Gewest ontworpen RPA's berekend, en het goedkeuringsproces voor projecten gaat door, ondanks het feit dat de projecten onverenigbaar zijn met de klimaatdoelstellingen (zie hieronder).Zonder meting van de klimaatimpact van grote stadsprojecten zoals de RPA's zullen we niet in staat zijn om tegen 2050 koolstofneutraliteit te bereiken, wat een vermindering met 95% van de uitstoot van broeikasgassen door het Gewest vereist. Erger nog, we lopen het risico de klimaatsituatie te verergeren.Nieuwbouw blijft immers de voornaamste leidraad (ten nadele van renovatie) en daarbij wordt gebruik gemaakt van materialen die niet erg milieuvriendelijk zijn (voornamelijk beton), die de koolstofvoetafdruk van stadsprojecten aanzienlijk verhogen. Dit blijkt uit een door The Shifters Belgium uitgevoerde studie over de levenscyclus van het RPA MediaPark.Door deze klimaatonvriendelijke keuzes te maken, tasten wij het koolstofbudget van de toekomstige generaties aan. Hoe meer we vandaag uitstoten, hoe meer we morgen zullen moeten verminderen. Bovendien is de keuze voor nieuwbouw ten koste van renovatie en herstel ecologisch onzinnig, terwijl de stad op sommige plaatsen een leegstand van bijna 10% kent. Zoals uit bovengenoemde studie blijkt, zijn er alternatieve scenario's die verenigbaar zijn met de klimaatdoelstellingen en die noch de economische projecten noch de woningproductie in het gedrang brengen.We vragen het Brussels Hoofdstedelijk Parlement dan ook om van Brussel een duurzame stad te maken die zich echt inzet voor een traject om de uitstoot van broeikasgassen te verminderen en zo de gevolgen van de klimaatverandering te beperken.Dit zou kunnen worden bereikt door een wijziging van bijlage C van het BWRO (Brussels Wetboek van Ruimtelijke Ordening, met de titel “Inhoud van het milieueffectenrapport over de stedenbouwkundige plannen en verordeningen”.

Suppressions

Ajouts

+
In zijn energie-klimaatplan 2030 verbindt het Brussels Hoofdstedelijk Gewest zich ertoe zijn richtplannen van aanleg (RPA's) af te stemmen op de klimaatdoelstellingen. Om deze doelstellingen te bereiken, moet de koolstofvoetafdruk van een project in de ontwerpfase systematisch worden gemeten en in aanmerking worden genomen. Zonder meting is het onmogelijk om deze met zekerheid en doeltreffendheid te verminderen! De koolstofvoetafdruk is echter in geen van de 13 door het Gewest ontworpen RPA's berekend, en het goedkeuringsproces voor projecten gaat door, ondanks het feit dat de projecten onverenigbaar zijn met de klimaatdoelstellingen (zie hieronder).

Zonder meting van de klimaatimpact van grote stadsprojecten zoals de RPA's zullen we niet in staat zijn om tegen 2050 koolstofneutraliteit te bereiken, wat een vermindering met 95% van de uitstoot van broeikasgassen door het Gewest vereist. Erger nog, we lopen het risico de klimaatsituatie te verergeren.

Nieuwbouw blijft immers de voornaamste leidraad (ten nadele van renovatie) en daarbij wordt gebruik gemaakt van materialen die niet erg milieuvriendelijk zijn (voornamelijk beton), die de koolstofvoetafdruk van stadsprojecten aanzienlijk verhogen. Dit blijkt uit een door The Shifters Belgium uitgevoerde studie over de levenscyclus van het RPA MediaPark.

Door deze klimaatonvriendelijke keuzes te maken, tasten wij het koolstofbudget van de toekomstige generaties aan. Hoe meer we vandaag uitstoten, hoe meer we morgen zullen moeten verminderen. Bovendien is de keuze voor nieuwbouw ten koste van renovatie en herstel ecologisch onzinnig, terwijl de stad op sommige plaatsen een leegstand van bijna 10% kent. Zoals uit bovengenoemde studie blijkt, zijn er alternatieve scenario's die verenigbaar zijn met de klimaatdoelstellingen en die noch de economische projecten noch de woningproductie in het gedrang brengen.

We vragen het Brussels Hoofdstedelijk Parlement dan ook om van Brussel een duurzame stad te maken die zich echt inzet voor een traject om de uitstoot van broeikasgassen te verminderen en zo de gevolgen van de klimaatverandering te beperken.

Dit zou kunnen worden bereikt door een wijziging van bijlage C van het BWRO (Brussels Wetboek van Ruimtelijke Ordening, met de titel “Inhoud van het milieueffectenrapport over de stedenbouwkundige plannen en verordeningen”.

Suppressions

Ajouts

+In zijn energie-klimaatplan 2030 verbindt het Brussels Hoofdstedelijk Gewest zich ertoe zijn richtplannen van aanleg (RPA's) af te stemmen op de klimaatdoelstellingen. Om deze doelstellingen te bereiken, moet de koolstofvoetafdruk van een project in de ontwerpfase systematisch worden gemeten en in aanmerking worden genomen. Zonder meting is het onmogelijk om deze met zekerheid en doeltreffendheid te verminderen! De koolstofvoetafdruk is echter in geen van de 13 door het Gewest ontworpen RPA's berekend, en het goedkeuringsproces voor projecten gaat door, ondanks het feit dat de projecten onverenigbaar zijn met de klimaatdoelstellingen (zie hieronder).Zonder meting van de klimaatimpact van grote stadsprojecten zoals de RPA's zullen we niet in staat zijn om tegen 2050 koolstofneutraliteit te bereiken, wat een vermindering met 95% van de uitstoot van broeikasgassen door het Gewest vereist. Erger nog, we lopen het risico de klimaatsituatie te verergeren.Nieuwbouw blijft immers de voornaamste leidraad (ten nadele van renovatie) en daarbij wordt gebruik gemaakt van materialen die niet erg milieuvriendelijk zijn (voornamelijk beton), die de koolstofvoetafdruk van stadsprojecten aanzienlijk verhogen. Dit blijkt uit een door The Shifters Belgium uitgevoerde studie over de levenscyclus van het RPA MediaPark.Door deze klimaatonvriendelijke keuzes te maken, tasten wij het koolstofbudget van de toekomstige generaties aan. Hoe meer we vandaag uitstoten, hoe meer we morgen zullen moeten verminderen. Bovendien is de keuze voor nieuwbouw ten koste van renovatie en herstel ecologisch onzinnig, terwijl de stad op sommige plaatsen een leegstand van bijna 10% kent. Zoals uit bovengenoemde studie blijkt, zijn er alternatieve scenario's die verenigbaar zijn met de klimaatdoelstellingen en die noch de economische projecten noch de woningproductie in het gedrang brengen.We vragen het Brussels Hoofdstedelijk Parlement dan ook om van Brussel een duurzame stad te maken die zich echt inzet voor een traject om de uitstoot van broeikasgassen te verminderen en zo de gevolgen van de klimaatverandering te beperken.Dit zou kunnen worden bereikt door een wijziging van bijlage C van het BWRO (Brussels Wetboek van Ruimtelijke Ordening, met de titel “Inhoud van het milieueffectenrapport over de stedenbouwkundige plannen en verordeningen”.

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Auteur de la version

Stéphane Vansantvoet

Version créée le 24/11/2021 09:57