Renoncer au deux poids, deux mesures et en finir avec le mal-logement en Région bruxelloise, pour les réfugiés ukrainiens comme tout autre être humain

Pétition

Période de collecte des signatures 29/04/2022 - 19/10/2022

Pétition

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Titre (Français)

-Renoncer au DEUX POIDS, DEUX MESURES, en mettant tout en œuvre − puisque c’est possible − pour en finir avec le mal-logement et le non-logement en Région de Bruxelles-Capitale…qu’il s’agisse de réfugiés ukrainiens ou de tout autre être humain
+Renoncer au deux poids, deux mesures et en finir avec le mal-logement en Région bruxelloise, pour les réfugiés ukrainiens comme tout autre être humain

Titre (Nederlands)

Description (Français)

-
Nous nous félicitons bien entendu des nombreux élans de solidarité en faveur des réfugiés ukrainiens, depuis les plus hautes sphères de l’État et jusqu’aux simples citoyens, en passant par les Régions, les CPAS, les communes et les associations de terrain.

Mais il n’est pas acceptable que ces mêmes élans de solidarité ne concernent pas 1) les milliers de personnes dans une situation matérielle comparable depuis des années, c’est-à-dire dans une situation de mal-logement ou de non-logement et 2) les milliers de réfugiés d’autres guerres.

On se satisfait de faire le minimum pour eux, alors qu’on fait le maximum pour les réfugiés ukrainiens.

La Région de Bruxelles-Capitale met tout en œuvre pour héberger et reloger jusqu’à 20.000 réfugiés ukrainiens, alors que, pour rappel, les personnes sans chez-soi y sont moins de 6000.

La crise des réfugiés ukrainiens a deux mérites :

1) démontrer que QUAND ON VEUT, ON PEUT mettre les bouchées en matière de non-logement ou de mal-logement pour toutes et tous ;

2) mettre au grand jour une politique du DEUX POIDS, DEUX MESURES à l’œuvre dans les politiques sociales en Région de Bruxelles-Capitale comme ailleurs.

Les signataires de la pétition demandent au Parlement bruxellois de se positionner par rapport à ce double constat.
+
Nous nous félicitons bien entendu des nombreux élans de solidarité en faveur des réfugiés ukrainiens, depuis les plus hautes sphères de l’État et jusqu’aux simples citoyens, en passant par les Régions, les CPAS, les communes et les associations de terrain.

Mais il n’est pas acceptable que ces mêmes élans de solidarité ne concernent pas 1) les milliers de personnes dans une situation matérielle comparable depuis des années, c’est-à-dire dans une situation de mal-logement ou de non-logement, et 2) les milliers de réfugiés d’autres guerres.

On se satisfait de faire le minimum pour eux, alors qu’on fait le maximum pour les réfugiés ukrainiens.

La Région de Bruxelles-Capitale met tout en œuvre pour héberger et reloger jusqu’à 20.000 réfugiés ukrainiens, alors que, pour rappel, les personnes sans chez-soi y sont moins de 6.000.

La crise des réfugiés ukrainiens a deux mérites :

1) démontrer que quand on veut, on peut mettre les bouchées en matière de non-logement ou de mal-logement pour toutes et tous ;

2) mettre au grand jour une politique du deux poids, deux mesures à l’œuvre dans les politiques sociales en Région de Bruxelles-Capitale comme ailleurs.

Les signataires de la pétition demandent au Parlement bruxellois de se positionner par rapport à ce double constat.

-Nous nous félicitons bien entendu des nombreux élans de solidarité en faveur des réfugiés ukrainiens, depuis les plus hautes sphères de l’État et jusqu’aux simples citoyens, en passant par les Régions, les CPAS, les communes et les associations de terrain. Mais il n’est pas acceptable que ces mêmes élans de solidarité ne concernent pas 1) les milliers de personnes dans une situation matérielle comparable depuis des années, c’est-à-dire dans une situation de mal-logement ou de non-logement et 2) les milliers de réfugiés d’autres guerres. On se satisfait de faire le minimum pour eux, alors qu’on fait le maximum pour les réfugiés ukrainiens.La Région de Bruxelles-Capitale met tout en œuvre pour héberger et reloger jusqu’à 20.000 réfugiés ukrainiens, alors que, pour rappel, les personnes sans chez-soi y sont moins de 6000.La crise des réfugiés ukrainiens a deux mérites : 1) démontrer que QUAND ON VEUT, ON PEUT mettre les bouchées en matière de non-logement ou de mal-logement pour toutes et tous ;2) mettre au grand jour une politique du DEUX POIDS, DEUX MESURES à l’œuvre dans les politiques sociales en Région de Bruxelles-Capitale comme ailleurs.Les signataires de la pétition demandent au Parlement bruxellois de se positionner par rapport à ce double constat.
+Nous nous félicitons bien entendu des nombreux élans de solidarité en faveur des réfugiés ukrainiens, depuis les plus hautes sphères de l’État et jusqu’aux simples citoyens, en passant par les Régions, les CPAS, les communes et les associations de terrain. Mais il n’est pas acceptable que ces mêmes élans de solidarité ne concernent pas 1) les milliers de personnes dans une situation matérielle comparable depuis des années, c’est-à-dire dans une situation de mal-logement ou de non-logement, et 2) les milliers de réfugiés d’autres guerres. On se satisfait de faire le minimum pour eux, alors qu’on fait le maximum pour les réfugiés ukrainiens. La Région de Bruxelles-Capitale met tout en œuvre pour héberger et reloger jusqu’à 20.000 réfugiés ukrainiens, alors que, pour rappel, les personnes sans chez-soi y sont moins de 6.000. La crise des réfugiés ukrainiens a deux mérites : 1) démontrer que quand on veut, on peut mettre les bouchées en matière de non-logement ou de mal-logement pour toutes et tous ; 2) mettre au grand jour une politique du deux poids, deux mesures à l’œuvre dans les politiques sociales en Région de Bruxelles-Capitale comme ailleurs. Les signataires de la pétition demandent au Parlement bruxellois de se positionner par rapport à ce double constat.

Suppressions

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Nous nous félicitons bien entendu des nombreux élans de solidarité en faveur des réfugiés ukrainiens, depuis les plus hautes sphères de l’État et jusqu’aux simples citoyens, en passant par les Régions, les CPAS, les communes et les associations de terrain.

Mais il n’est pas acceptable que ces mêmes élans de solidarité ne concernent pas 1) les milliers de personnes dans une situation matérielle comparable depuis des années, c’est-à-dire dans une situation de mal-logement ou de non-logement et 2) les milliers de réfugiés d’autres guerres.

On se satisfait de faire le minimum pour eux, alors qu’on fait le maximum pour les réfugiés ukrainiens.

La Région de Bruxelles-Capitale met tout en œuvre pour héberger et reloger jusqu’à 20.000 réfugiés ukrainiens, alors que, pour rappel, les personnes sans chez-soi y sont moins de 6000.

La crise des réfugiés ukrainiens a deux mérites :

1) démontrer que QUAND ON VEUT, ON PEUT mettre les bouchées en matière de non-logement ou de mal-logement pour toutes et tous ;

2) mettre au grand jour une politique du DEUX POIDS, DEUX MESURES à l’œuvre dans les politiques sociales en Région de Bruxelles-Capitale comme ailleurs.

Les signataires de la pétition demandent au Parlement bruxellois de se positionner par rapport à ce double constat.

Ajouts

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Nous nous félicitons bien entendu des nombreux élans de solidarité en faveur des réfugiés ukrainiens, depuis les plus hautes sphères de l’État et jusqu’aux simples citoyens, en passant par les Régions, les CPAS, les communes et les associations de terrain.

Mais il n’est pas acceptable que ces mêmes élans de solidarité ne concernent pas 1) les milliers de personnes dans une situation matérielle comparable depuis des années, c’est-à-dire dans une situation de mal-logement ou de non-logement, et 2) les milliers de réfugiés d’autres guerres.

On se satisfait de faire le minimum pour eux, alors qu’on fait le maximum pour les réfugiés ukrainiens.

La Région de Bruxelles-Capitale met tout en œuvre pour héberger et reloger jusqu’à 20.000 réfugiés ukrainiens, alors que, pour rappel, les personnes sans chez-soi y sont moins de 6.000.

La crise des réfugiés ukrainiens a deux mérites :

1) démontrer que quand on veut, on peut mettre les bouchées en matière de non-logement ou de mal-logement pour toutes et tous ;

2) mettre au grand jour une politique du deux poids, deux mesures à l’œuvre dans les politiques sociales en Région de Bruxelles-Capitale comme ailleurs.

Les signataires de la pétition demandent au Parlement bruxellois de se positionner par rapport à ce double constat.

Suppressions

-Nous nous félicitons bien entendu des nombreux élans de solidarité en faveur des réfugiés ukrainiens, depuis les plus hautes sphères de l’État et jusqu’aux simples citoyens, en passant par les Régions, les CPAS, les communes et les associations de terrain. Mais il n’est pas acceptable que ces mêmes élans de solidarité ne concernent pas 1) les milliers de personnes dans une situation matérielle comparable depuis des années, c’est-à-dire dans une situation de mal-logement ou de non-logement et 2) les milliers de réfugiés d’autres guerres. On se satisfait de faire le minimum pour eux, alors qu’on fait le maximum pour les réfugiés ukrainiens.La Région de Bruxelles-Capitale met tout en œuvre pour héberger et reloger jusqu’à 20.000 réfugiés ukrainiens, alors que, pour rappel, les personnes sans chez-soi y sont moins de 6000.La crise des réfugiés ukrainiens a deux mérites : 1) démontrer que QUAND ON VEUT, ON PEUT mettre les bouchées en matière de non-logement ou de mal-logement pour toutes et tous ;2) mettre au grand jour une politique du DEUX POIDS, DEUX MESURES à l’œuvre dans les politiques sociales en Région de Bruxelles-Capitale comme ailleurs.Les signataires de la pétition demandent au Parlement bruxellois de se positionner par rapport à ce double constat.

Ajouts

+Nous nous félicitons bien entendu des nombreux élans de solidarité en faveur des réfugiés ukrainiens, depuis les plus hautes sphères de l’État et jusqu’aux simples citoyens, en passant par les Régions, les CPAS, les communes et les associations de terrain. Mais il n’est pas acceptable que ces mêmes élans de solidarité ne concernent pas 1) les milliers de personnes dans une situation matérielle comparable depuis des années, c’est-à-dire dans une situation de mal-logement ou de non-logement, et 2) les milliers de réfugiés d’autres guerres. On se satisfait de faire le minimum pour eux, alors qu’on fait le maximum pour les réfugiés ukrainiens. La Région de Bruxelles-Capitale met tout en œuvre pour héberger et reloger jusqu’à 20.000 réfugiés ukrainiens, alors que, pour rappel, les personnes sans chez-soi y sont moins de 6.000. La crise des réfugiés ukrainiens a deux mérites : 1) démontrer que quand on veut, on peut mettre les bouchées en matière de non-logement ou de mal-logement pour toutes et tous ; 2) mettre au grand jour une politique du deux poids, deux mesures à l’œuvre dans les politiques sociales en Région de Bruxelles-Capitale comme ailleurs. Les signataires de la pétition demandent au Parlement bruxellois de se positionner par rapport à ce double constat.

Description (Nederlands)

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Auteur de la version

Parlement bruxellois - Brussels Parlement

Version créée le 29/04/2022 10:24