Pour une diminution des déchets sauvages

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• – faire payer l’industrie pour la production d’emballages à usage unique et d’emballages non recyclables ainsi que pour l’utilisation de plastique vierge afin de stimuler la production d’emballages réutilisables ou recyclables, et l’utilisation de plastique recyclé.

C’est une étape nécessaire et importante vers une société plus circulaire et moins polluante.

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  La Wallonie, la Flandre et Bruxelles font toutes trois face au même problème, celui des déchets sauvages. Ils sont dans nos rues, dans nos parcs, dans nos rivières, sur nos plages. Leurs descendants, les microplastiques, polluent la mer, l’air, les aliments et l’eau que nous consommons. C’est pourquoi nous demandons aux autorités belges de se mettre autour de la table pour décider de :

  • – l’introduction d’un système de consigne pour les cannettes et les bouteilles en plastique. Ces emballages à usage unique comptent pour 40 % des déchets sauvages. Il faut leur donner une valeur suffisante, 25 centimes d’euro par emballages, afin qu’ils soient retournés aux producteurs pour être réellement recyclés (c’est-à-dire utiliser la matière pour refaire le même produit) et qu’ils ne se retrouvent plus dans la nature ;
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  • – faire payer l’industrie pour la production d’emballages à usage unique et d’emballages non recyclables ainsi que pour l’utilisation de plastique vierge afin de stimuler la production d’emballages réutilisables ou recyclables, et l’utilisation de plastique recyclé.

  C’est une étape nécessaire et importante vers une société plus circulaire et moins polluante.